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L'URBANISTE QUI TENTE L'URBANISME DURABLE

le 30-04-2009 09:04

Les objectifs d’énergies renouvelables fixés pour 2010 ne seront pas tenus

ENERGIES - Actu-Environnement.com - 29/04/2009

Au regard des données 2006, la Commission européenne estime que les objectifs d’énergies renouvelables fixés pour 2010 ne seront pas tenus. Elle mise sur la prochaine directive pour accélérer le rythme de développement et atteindre l’objectif 2020.
 


 
 
le 29-04-2009 15:52

"La ville se crée à la rencontre des flux" (Fernand Braudel)

Jeudi 26 mars 2009 - Nice - Faculté de Droit et Sciences économiques

 


 
 
le 27-04-2009 19:47

Le dispositif d’accompagnement des écoquartiers (IN Secteur public)

Date de publication : lundi 27 avril 2009
Augustin de Romanet, Directeur général de la Caisse des Dépôts, a lancé, en mars dernier, un programme national d’appui à des projets d’urbanisme durable lors de sa visite de l’écoquartier La Courrouze à Rennes.
 


 
 
le 24-04-2009 09:37

La « crise de l’immobilier » est là (IN LA LETTRE DU CADRE TERRITORIAL N° 377)

La « crise de l’immobilier » est là : leconsensus évoquait un « atterrissageen douceur », on voit ce qu’il en est aujourd’hui ! Un terrible effet de ciseaux

 


 
 
le 20-04-2009 15:19

Une circulaire invite les préfets à lancer le volet éolien des schémas régionaux d'énergies renouvelables (IN Localtis)

Une circulaire de Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, transmise aux préfets de régions et de départements prépare le volet éolien des futurs schémas régionaux d'énergies renouvelables. Pour rappel, la mise en oeuvre de ces schémas a été actée lors de l'examen en première lecture du projet de loi Grenelle 1, suite à l'adoption d'un amendement à l'article 17 déposé par Bruno Sido, sénateur de la Haute-Marne (Champagne-Ardenne) et rapporteur du projet de loi. Cet article vient modifier la loi de programme du 13 juillet 2005, qui fixe les orientations de la politique énergétique et prévoit ainsi de "faciliter le développement des énergies renouvelables par le recours, aux différents échelons territoriaux, à la planification, à l'incitation et à la diffusion des innovations". Cet article précise également que "dans chaque région, un schéma régional des énergies renouvelables définira, par zones géographiques, sur la base des potentiels de la région, et en tenant compte des objectifs nationaux, des objectifs qualitatifs et quantitatifs de la région en matière de valorisation du potentiel énergétique renouvelable et fatal de son territoire".

 


 
 
le 20-04-2009 15:16

La carte intercommunale devra être achevée d'ici fin 2011 (IN Localtis)

carte de france
La carte intercommunale devra être achevée d'ici fin 2011
 


 
 
le 20-04-2009 15:06

Cinq architectes en lice ( IN Développement durable)

Pour sa troisième édition, le Global Award for Sustainable Architecture, grand prix international d'architecture durable, a sélectionné le 6 avril à Paris les cinq lauréats 2009. La démarche originale de ce prix est de rassembler, autour d'une même éthique, des architectes de différents continents qui partagent la même approche de l'habitant.
 


 
 
le 20-04-2009 15:02

UN BATIMENT D'ACTIVITE A ENERGIE POSITIVE (IN Actu environnement)

batiment activité

Dans le cadre du projet européen Interreg IV B ENO dédié à la coopération transnationale et du projet PREBAT, le SIZIAF gestionnaire et développeur du Parc des industries Artois-Flandres a lancé la construction d'un bâtiment à énergie positive. Baptisé REGAIN, ce bâtiment sera installé au cœur d'un parc d'activités de 12 ha certifié ISO 14001. La conception du bâtiment doit lui permettre de limiter les besoins d'énergie et de répondre ainsi au label Bâtiment Basse Consommation (BBC). Grâce à une toiture solaire photovoltaïque et thermique permettant de produire de l'électricité, de l'eau chaude sanitaire et de préchauffer l'air entrant, le bâtiment pourra produire plus d'énergie que ses besoins, ce qui en fera un bâtiment à énergie positive (futur label BEPOS). La démarche de construction sera également réalisée selon les critères de Haute Qualité Environnementale (HQE). Résultat, le bâtiment contiendra du bois certifié à hauteur de 205 dm3/m2 de SHON et sera équipé d'une toiture végétalisée. Il sera isolé avec de la pierre ponce et bénéficiera d'une ventilation double flux, de la récupération des eaux de pluie pour les sanitaires et pour le lavage des locaux et de nombreux aménagements paysagers. Le bâtiment REGAIN sera instrumenté pour être suivi pendant trois ans, et les résultats seront rendus publics, afin de mesurer l'efficacité réelle des solutions proposées. F.ROUSSEL Acteurs du projet : Maître d'ouvrage : Le Syndicat Mixte SIZIAF Conception : Groupement Arietur et Solener Partenaires : Cd2e, association nationale PALME Financeurs : Interreg IV B ENO, Fond FRAMEE et appel à projet PREBAT, département du Pas de Calais.

 


 
 
le 20-04-2009 10:50

ECO QUARTIERS (IN Inventaires)

Saluons la parution du bouquin de notre ami Michel Sabard et de son compère le très respecté Pierre Lefèvre.

 


 
 
le 20-04-2009 09:52

LE RAPPORT KELLER: « La gare contemporaine, centre de ville et cœur des transports » (IN Gazette des communes)

La sénatrice UMP du Bas-Rhin Fabienne Keller propose d’investir d’ici 2020 entre 7,5 et 8,7 milliards d’euros dans la création de « grandes gares » regroupant plusieurs moyens de transport, dans un rapport remis le 10 mars au Premier ministre François Fillon.

 


 
 
le 19-04-2009 15:36

L'ARTIFICIALISATION DES SOLS CONTINUE A UN RYTHME PLUS SOBRE

 Reproduisant les tendances observées entre 1990 et 2000 bien qu’à un rythme ralenti, les espaces artificialisés ont continué à s’étendre sur le territoire métropolitain français entre 2000 et 2006, grignotant espaces ruraux et agricoles. Telles sont les conclusions rendues par l’outil européen de suivi de l’occupation des sols, CORINE Land Cover, et communiquées dans un récent bulletin du Commissariat général au développement durable. A en croire les données fournies, entre 2000 et 2006, les changements d’occupation des sols ont affecté en moyenne environ 620 km2 par an contre 1 120 km2 par an durant la période 1990-2000. En 2006, le territoire métropolitain est couvert à 60 % de terres agricoles, 34 % de forêts et d’espaces semi-naturels, 5 % d’espaces artificialisés, 0,7 % de zones humides et 0,3 % de surfaces en eau. Régions à forte densité de population permanente ou saisonnière, l’Ile-de-France, le Nord, l’Alsace, le couloir rhodanien et le littoral, de manière générale, accueillent les territoires les plus artificialisés. Sur l’ensemble de la métropole, entre 2000 et 2006, les espaces artificiels ont totalisé un accroissement de plus de 820 km2, soit une croissance de plus de 3 %, empiétant principalement sur les terres agricoles mais également sur les milieux naturels. La progression de l’artificialisation s’est majoritairement concentrée aux alentours des grandes villes, le long des réseaux de transport et des vallées. En parallèle, la surface totale des terres agricoles a continué à diminuer dans toutes les régions entre 2000 et 2006, enregistrant une perte de 780 km2 sur la période.

 


 
 
le 19-04-2009 15:27

Michel Serres l'écologie politique

serre

Immergé dans le contrat exclusivement social, l'homme politique, jusqu'à ce matin, le contresigne et récrit, le fait d'observer, uniquement expert en relation publique et science sociale; éloquent, même rhéteur, cultivé à la rigueur, connaissant les reins, les coeurs, et la dynamique des groupes, administrateur beaucoup, médiatique, il le faut bien, essentiellement juriste, lui-même produit du droit et produisant du droit: inutile de se faire physicien.

 


 
 
le 19-04-2009 15:19

Elisée Reclus: villes et campagnes en 1911 !

élisée reclus

On sait avec quelle rapidité s’accomplit en France ce phénomène de l’émigration des campagnards vers Paris, Lyon, Toulouse et les grands ports de mer. Tous les accroissements de la population se font au profit des centres d’attraction, et la plupart des petites villes et des villages restent stationnaires ou même déclinent quant au nombre des habitants. plus de la moitié des départements sont de moins en moins peuplés, et l’on peut en citer un, celui des Basses-Alpes, qui depuis le Moyen-Age a certainement perdu un bon tiers de ses habitants. Si l’on tenait compte des voyages et des émigrations temporaires, qui ont pour résultat d’accroître nécessairement la population flottante des grandes villes, les résultats seraient bien plus frappants encore. Dans les Pyrénées de l’Ariège, il est certains villages que tous les habitants, hommes et femmes, abandonnent complètement pendant l’hiver pour descendre dans les cités de la plaine. Enfin la plupart des Français qui s’occupent d’opérations commerciales ou qui vivent de leurs revenus, sans compter des multitudes de paysans et d’ouvriers, ne manquent pas de visiter Paris et les principales cités de la France, et le temps est bien loin où, dans les provinces reculées, on désignait un ouvrier voyageur par le nom de la grande ville qu’il avait habitée. En Angleterre et en Allemagne s’accomplissent les mêmes phénomènes sociaux. Bien que dans ces deux contrées l’excédant des naissances sur les morts soit beaucoup plus considérable qu’en France, cependant là aussi des pays agricoles, tels que le duché de Hesse-Cassel et le comté de Cambridge, se dépeuplent au profit des grandes cités. Même dans l’Amérique du Nord, où la population s’accroît avec une si étonnante rapidité, un grand nombre de districts agricoles de la Nouvelle-Angleterre ont perdu une forte proportion de leurs habitants par suite d’une double émigration, d’un côté vers les régions du Far-West, de l’autre vers les villes commerciales de la côte, Portland, Boston, New York.

 


 
 
le 19-04-2009 14:57

Edgar Morin co-piloter la Terre

morin

La découverte de la communauté de destin homme/nature donne responsabilité tellurique à l'homme. dès lors, il lui faut radicalement abandonner le projet conquérant formulé par Descartes, Buffon, Marx. Non plus dominer la terre, mais soigner la Terre malade, l'habiter, l'aménager, la cultiver.

 


 
 
le 19-04-2009 14:40

les limites de la Terre et la croissance (A. Jacquard)

jacquard

« Le temps d’un monde fini commence » écrivait Paul Valéry en 1945. Oui, une ère nouvelle s’ouvre dans l’histoire des hommes. Ils avaient pu jusqu’à présent s’imaginer que leur domaine était sans limite, en tout cas faire comme si ; il leur faut désormais prendre conscience de l’existence et de la proximité de ces limites et en tirer les conséquences.

 


 
 
le 18-04-2009 06:34

ANALYSE D'UN MARCHE (site des Notaires)

Lors de nos précédentes communications nous avions appelé à la prudence sur les évolutions du marché immobilier en raison de la brutalité des phénomènes observés.

 


 
 
le 15-04-2009 08:39

Grand Paris : désordre apparent, ordre caché, par Paul Chemetov et Michel Lussault

par Mansat Pierre (articles) Hier à 09:49
LE MONDE | 11.04.09 | 13h32 • Mis à jour le 11.04.09 | 13h32
 


 
 
le 15-04-2009 08:17

LA VILLE DURABLE RELAIS ESPERE DE LA CROISSANCE VERTE (IN Le Monde)

ABU DHABI ENVOYÉ SPÉCIAL

Pas question de renoncer à verdir les villes, même si la crise a fait fondre les ressources publiques, s'évaporer les capacités d'investissement du privé et s'assécher les crédits bancaires. Ce voeu pieux a résonné tout au long du forum Global City, mardi 7 et mercredi 8 avril, à Abu Dhabi.

 


 
 
le 14-04-2009 10:51

Ecoquartiers : "Le risque en France serait de se contenter d'un effet vitrine" (IN La gazette des communes)

Alors que la semaine du développement durable, qui se déroulait du 1er au 7 avril 2009 vient de s’achever, Catherine Charlot-Valdieu, présidente du Réseau européen pour un développement urbain durable (Suden) et Philippe Outrequin, coauteurs d’un ouvrage sur le développement durable et les écoquartiers * qui vient de paraître, reviennent, dans une interview accordée à la Gazette des Communes, sur la notion très en vogue d’«écoquartiers». Pouvez-vous rappeler ce qui définit un éco-quartier ?L’urbanisme durable est caractérisé par une nouvelle façon de penser et d’agir qui se manifeste à travers 4 éléments majeurs : une «démarche projet» raisonnant en cycle (eau, énergie, matériaux) ou par écosystème (déchets, flux) et centrée sur la cohérence économique ; une démarche qui associe le sensible (l’architecture) et l'ingénierie technique et économique (objectifs de performance et processus d'évaluation) ; la prise en compte du long terme : économie de ressources naturelles, investissements évités (réseaux), prévention et lutte contre le changement climatique ; une nouvelle gouvernance qui s’appuie sur des partenariats multiples (public-privé, entreprises-clients…) et de nouvelles règles de marché (PPP, dialogue compétitif...), d'une part, et la participation de différents acteurs d'autre part.Outre ces 4 éléments majeurs, un projet d'écoquartier doit comprendre 4 caractéristiques indissociables : il répond aux enjeux majeurs de la planète (effet de serre, épuisement des ressources naturelles, préservation de la biodiversité). Il doit aussi répondre aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux de la commune ou de l'agglomération en terme d’emplois et activités, de mixités, d’équité sociale. Il participe aussi au besoin d'attractivité des villes : mobilité, culture... Il vise à améliorer la qualité de la vie de ses habitants et usagers : réduction des nuisances, qualité globale (environnementale mais aussi architecturale, d'usage...) des bâtiments et des espaces publics, synergie territoriale, synergie thématique (eau par exemple ...). Il doit enfin favoriser la durabilité de la commune ou de l'agglomération : stratégie d'amélioration continue, reproductibilité ou transférabilité...La Caisse des Dépôts et Consignations qui a annoncé le 27 mars 2009 un soutien financier de 1,3 million d'euros à 15 projets d'éco-quartiers, recense une centaine de projets en France. Etes-vous d'accord avec ce chiffre ?Le ministère de l’Energie, de l'environnement, du développement durable et de l'aménagement du territoire (MEEDDAT) a reçu 160 dossiers ou projets d'écoquartier pour son appel à projets, clos depuis le 31 mars 2009. De notre côté, nous avons identifié début 2009 plus de 100 projets évoqués dans la presse professionnelle ou nationale. Toutefois la question qui se pose maintenant est double : Combien de ces projets sont de véritables projets d'écoquartier ? Combien aboutiront ?En effet, un projet d'écoquartier est un projet à long terme et nombreux sont ceux qui ne vont pas jusqu'à la réalisation effective, pour des raisons politiques ou économiques notamment. Ainsi, par exemple, le projet de quartier du Théâtre à Narbonne a reçu plusieurs médailles de développement durable (dont fin 2006 les Rubans du développement durable décernés par le Comité 21, Dexia, l’AMF et l’AMGVF). Mais, en 2008, la nouvelle municipalité a décidé d'abandonner ce projet de quartier "zéro émission de gaz à effet de serre".Quels aspects, ou étapes, les élus qui souhaitent réaliser des éco-quartiers doivent-ils améliorer ?Il n'y a pas de réponse générale, chaque projet étant spécifique. Nous signalerons cependant 3 points faibles dans les projets actuels en France : L’évaluation : il y a, en France, très peu de méthodes et d'outils d'évaluation. De plus le processus d'évaluation est très rarement défini en amont des projets et est souvent limité à un tableau de bord d'indicateurs binaires très simples comme dans de nombreux Agendas 21. Deuxième point, les partenariats : il faudrait donner plus de poids aux partenariats en amont. Enfin, l’ingénierie technique et économique : approche écosystémique, analyse des cycles, analyse en coût global élargi, notamment.L'Agence nationale de rénovation urbaine (Anru) joue-t-elle son rôle dans la création/réhabilitation de quartiers en éco-quartiers ?Nous ne nous permettons pas de juger du rôle de l’Anru, il y a pour cela un Comité d’évaluation constitué de divers experts. Cela dit, dans un interview au Monde du 21 mars, j’ai [Catherine Charlot-Valdieu, ndrl] fait référence à l’énergie, laquelle n’a pas été prise en compte dans de nombreux projets de renouvellement urbain contractualisés avec l’Anru. Et ceci pour 4 raisons, outre la méconnaissance des travaux des chercheurs (comme la démarche HQE2R de transformation durable des quartiers par exemple) : Une raison liée à la réglementation : en effet la réglementation actuelle (DGUHC) exige un diagnostic urbain et social alors qu’il faudrait réaliser un diagnostic partagé de développement durable du quartier.Une raison structurelle ensuite : les agents de l’Anru sont principalement issus de la Délégation interministérielle à la ville (DIV). L’Anru n'a pas recruté d'économistes ni d'environnementalistes ni d'experts du développement urbain durable.En troisième lieu, il faut citer l’absence de transversalité des actions menées par les services de l’Etat et notamment de l’Anru et de l’Ademe - laquelle aurait pu combler l'absence d'environnementalistes - ou une collaboration trop tardive des deux organismes.Une raison culturelle enfin : l’absence de stratégies d’évaluation définies très en amont des projets et centrées sur l’intérêt général (pour lequel des indicateurs ont été définis par l’Etat, comme la valeur de la tonne de carbone par exemple).Pourriez-vous citer quelques exemples d'éco-quartiers qui fonctionnent bien en France ?Nous pouvons citer La Courrouze, à Rennes, projet qui n’est pas le premier essai de la ville. Avant, il y a déjà eu La Poterie et Beauregard, par exemple. Les élus de Rennes, comme ceux de Fribourg (Suisse), ont élaboré depuis longtemps une stratégie de développement durable de leur territoire et différents outils tels qu’un plan local d’urbanisme qui intègre des préoccupations environnementales, un plan local de l’habitat qui renforce la mixité et l’équité sur le territoire, un référentiel espaces publics, un référentiel aménagement durable pour leur ZAC (2007), etc.A l'échelle de l'Europe, comment se situe la France, dans ce domaine ?La France est en retard par rapport aux pays nordiques, l’Allemagne ou l’Autriche, par exemple. Ce n’est pas grave mais il ne faut pas pour autant brûler les étapes ni céder aux effets de mode. Le risque aujourd’hui, en France, est l'effet «vitrine» et la confusion entre «projet de quartier durable» et «projet exemplaire» (sur un thème tel que l’énergie et le gaz à effet de serre ou sur le plan environnemental). Ce risque est d’ailleurs accentué par le choix du seul terme d’éco-quartier.De nombreux élus veulent leur écoquartier pendant leur mandat, sans avoir élaboré de stratégie de développement durable à l’échelle de l’ensemble du territoire. De plus, certains élus ont une vision très restreinte du développement urbain durable ou de l’urbanisme durable. Nombreux sont ceux qui privilégient le choix d’un grand nom de l’architecture (contribuant à l’effet vitrine recherché) au détriment d’une réelle ingénierie technique et économique.Le choix risque donc de se porter sur des projets d’aménagement en périphérie urbaine, sans réelle démarche de développement urbain durable. Le risque est réel de voir des lotissements aggravant l’étalement urbain baptisés «écoquartiers » au prétexte d’une, ou de quelques bonnes pratiques thématiques, notamment environnementales (bâtiments à énergie positive par exemple). Pour atteindre les objectifs du Grenelle de l’environnement, nous devons rechercher l’effet de masse (grâce à des stratégies territoriales et patrimoniales) tout en traitant les quartiers et les bâtiments existants et en montant les partenariats qui permettront d’identifier les techniques de construction et de réhabilitation les plus efficaces économiquement (notamment pour les bâtiments existants, grâce à une analyse en coût global élargi et partagé).En période de crise économique il est important d’élaborer des outils d’évaluation et de ne pas se focaliser uniquement sur l'environnement (en mesurant les impacts sociaux et économiques des solutions environnementales retenues). Il s'agit d'aborder en même temps les 3 piliers du développement durable, de se doter de nouveaux outils d'analyse, de financement, d'évaluation (analyse coût/efficacité notamment), de nouvelles méthodes de travail.* «L'urbanisme durable – concevoir un écoquartier», éd. Le Moniteur, 295 pages, 59 euros
 


 
 
le 14-04-2009 10:39

COMMUNIQUE DE PRESSE Pour le « Maillon Sud Est France » de la grande vitesse ferroviaire de l’Arc Méditerranéen : « LGV PACA »

SFU Provence Alpes Côte d’Azur 3 avril 2009

COMMUNIQUE DE PRESSEPour le « Maillon Sud Est France »de la grande vitesse ferroviairede l’Arc Méditerranéen : « LGV PACA »
 


 
 
le 01-04-2009 11:06

Création d’une société de portage visant à développer le fret ferroviaire

Dominique Bussereau, Secrétaire d’Etat chargé des transports a annoncé le 31 mars la création dans les prochaines semaines d’une société de portage en vue de promouvoir les opérateurs de fret de proximité (OFP). Cette société est issue d'un partenariat entre Réseau Ferré de France, la Caisse des Dépôts et Consignations et un short-liner nord-américain (Railroad Development Corp), a indiqué le Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du Territoire (MEEDDAT) dans un communiqué. Elle fournira aux entrepreneurs locaux un appui en compétences ferroviaires, en montage économique et financier, et en pratique opérationnelle de trafic de fret de courte distance. Le ministère souligne par ailleurs que le projet de loi relatif à l’organisation et à la régulation des transports, permet une plus grande souplesse pour les OFP, qui pourront gérer l'infrastructure des lignes à faible trafic réservées au transport de marchandises. R. BOUGHRIET
 


 
 
le 01-04-2009 11:02

L'impact environnemental des transports à la loupe

Selon des données publiées par l'Agence européenne pour l'environnement fin 2008, si les transports routiers sont en augmentation, la pollution atmosphérique qu'ils génèrent serait en baisse, grâce aux évolutions du parc et des pratiques.

 


 
 
le 01-04-2009 10:58

Les transports : le poids lourd de l'Europe en matière d'émissions en gaz à effet de serre (IN Notre planète)

Le transport en Europe continue de contribuer de façon disproportionnée aux émissions de gaz à effet de serre, à la qualité médiocre de l’air et au bruit, et de recourir aux modes les moins efficaces pour transporter personnes et marchandises.