"Que nous ne puissions à nous seuls prendre en charge la totalité de la misère mondiale ne nous dispense nullement de devoir la soulager autant qu’il nous est possible." Tout au long du discours qu'il a prononcé hier, samedi 26 septembre, pour le 70ème anniversaire de la Cimade, Michel Rocard a martelé cette même conviction: "La France et l’Europe peuvent et doivent accueillir toute la part qui leur revient de la misère du monde!"
Je vous adresse en pièce-jointe une lettre ouverte à l’attention du Ministre de la Fonction publique et de la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Elle vise à interpeller le gouvernement sur le problème de l’accès des urbanistes diplômés de l’université au concours d’ingénieur territorial de la fonction publique. Cette lettre ouverte émane d’un collectif national de jeunes urbanistes (Instituts d’urbanisme d’Aix en Provence, Institut d’Urbanisme de Paris, Institut d’Urbanisme de Lyon, de Rennes, de Bordeaux, de Grenoble,...). Elle vise à dénoncer la mise à mal du principe d’égalité des chances pour les diplômés de l’université pour l’accès aux concours de la FPT mais aussi les difficultés pour le recrutement d’urbanistes qualifiés dans les collectivités locales que va entraîner l’application stricte du décret n° 2007-196 du 13 février 2007. Elle est susceptible de recueillir la signature d’élus, des urbanistes professionnels et d’universitaires (et même sans doute, d’être déclinée en questions écrites à l’attention du Gouvernement).
LE CONSEIL EUROPEEN DES URBANISTES VOTE BAROSSO !
Tout le monde urbanistique – ou presque - vit dans le local, dans l’émergence du projet de territoire local. La modicité des prestations n’incite d’ailleurs pas à lancer des appels d’offre européens.
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Chroniques sur la mutation d’une profession(2)
un site qui dérange la quiétude urbanistique et les ingénieurs tous puissants !
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Chroniques sur la mutation d’une profession(1)
Notre consommation ne cesse d’augmenter et la planète est exsangue. Confier notre salut au progrès technologique et à l’économie relève de l’illusion. Car la solution est politique : c’est à la refondation de notre démocratie représentative qu’il faut tendre.