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L'URBANISTE QUI TENTE L'URBANISME DURABLE

le 16-12-2008 18:17

Ouverture d'une desserte Strasbourg-aéroport, prélude au tram-train IN LIBERATION

15/12/2008

Ouverture d'une desserte Strasbourg-aéroport, prélude au tram-train

ECO-TERRE - Le préfet de la région Alsace, Jean-Marc Rebière, a inauguré lundi une nouvelle desserte ferroviaire reliant Strasbourg au Piémont des Vosges, qui permet une liaison régulière avec l'aéroport de Strasbourg-Entzheim. Avec cette nouvelle desserte, tous les quarts d'heure, l'aéroport de Strasbourg-Entzheim se trouve à 9 minutes de la gare de Strasbourg. Elle permet aussi de relier l'aéroport international à l'ensemble de l'Alsace via le maillage ferroviaire régional. Le train remplace dorénavant la navette par autobus qui est interrompue.

La mise en service de cette nouvelle offre de transport est "un moment clé du développement du TER Alsace" car elle "préfigure la desserte de l'ambitieux projet du tram-train de Strasbourg-Bruche-Piémont des Vosges", au sud-ouest de la ville, a souligné Michel Loth, directeur régional SNCF. Désormais, 40 trains supplémentaires circulent chaque jour sur les lignes Strasbourg-Molsheim-Bruche-Piémont des Vosges, souligne la SNCF dans un communiqué.
La première phase du projet tram-train coûte 35 millions d'euros sur sa partie ferroviaire et 25 millions d'euros sur la section urbaine qui desservira notamment les institutions européenne et l'université, via la future ligne F qui partira de la place de la gare. Son financement est assuré  par l'Etat, la Région Alsace, le conseil général du Bas-Rhin et la Communauté urbaine de Strasbourg.
La seconde phase du tram-train consistera à réaliser à l'horizon 2012/2013 l'interconnexion entre le réseau tramway et le réseau ferroviaire, grâce à un tunnel passant sous la gare de Strasbourg qui permettra de passer des lignes SNCF aux lignes urbaines sans rupture de charge.
La semaine dernière, le président PS de la communauté urbaine, Jacques Bigot, a regretté que le projet de tram-train ne figure pas dans le plan de relance de l'économie présenté par Nicolas Sarkozy et le gouvernement, contrairement au grand contournement ouest de Strasbourg
 


 
 
le 16-12-2008 10:47

Loi SRU retoquée : il a suffit d'un sénateur gaga (et d'une ministre daltonienne) IN MARIANNE 2

Loi SRU retoquée : il a suffit d'un sénateur gaga (et d'une ministre daltonienne)

Samedi soir, sur le plateau de Laurent Ruquier, Christine Boutin a expliqué que si sa proposition de modification de la loi SRU avait été retoquée par le Palais du Luxembourg, c'est notamment parce qu'un sénateur s'était trompé au moment du vote. Mais elle-même n'aurait apparemment pas fait mieux…

Invitée de Laurent Ruquier sur le plateau d’« On n’est pas couché », Christine Boutin s’est fendue d’une anecdote savoureuse pour expliquer pourquoi sa proposition de modification de la loi SRU avait été retoquée par le Sénat (à partir de 3'40'' sur la vidéo). C’est parce qu’il y avait, selon elle, « une désorganisation du Sénat et du groupe » UMP : « Est-ce que vous savez comment les sénateurs votent ? Je vais vous expliquer : ils votent avec des plaquettes correspondant au nombre de sénateurs. “Pour” c’est bleu, “abstention” c’est blanc et “contre” c’est rouge. (…) Le sénateur qui [était] chargé de prendre les plaquettes (de ces collègues absents, ndlr) a pris les 20 plaquettes des sénateurs qui m’avaient dit "de toute façon je vote pour ton article 17" et il a oublié d’enlever les 20 plaquettes du “contre” dans le paquet bleu. Et attendez, ce n’est pas fini… Et on pèse les plaquettes : c’est au poids. Et comme il y avait plus de poids que de sénateurs existants en France, on s’est aperçu que ça n’allait pas. Donc on a été obligé d’annuler le vote ! » 

 

Fou rire sur le plateau. Christine Boutin s’en tire à merveille. Si sa fameuse idée de modifier la loi SRU est passée à la trappe, ce n’est pas qu’elle était mauvaise. Non, c’est parce que parmi les sénateurs de la majorité, il y a un gâteux incapable de connaître les modalités de vote au Palais du Luxembourg. L’histoire est belle. Drôle même. Sauf que Christine Boutin ne fait pas preuve de plus d'acuité que son collègue du Sénat : elle aussi s’est emmêlé les pinceaux entre les différentes couleurs. Blanc correspond en fait à un vote favorable, bleu à un vote «contre» et rouge à une abstention. Or la présidente du Forum des républicains sociaux, élue députée à six reprises, n'est pas censée ignorer ce genre de détail : à l’Assemblée nationale, quand on se passe du vote électronique, on utilise aussi des bulletins tricolores (article 66 du règlement intérieur. Et le code couleurs est le même qu’au Sénat.
 


 
 
le 12-12-2008 11:59

LA « SOCIETE » BLOQUEE DES URBANISTES


LA « SOCIETE » BLOQUEE

 

 Quand on essaie d’être urbaniste, c’est du moins comme cela que nous nous positionnons lorsque nous « qualifions » des urbanistes à la commission  de qualification des urbanistes de l’OPQU (office de qualification de urbanistes) dont je fais partie, on a un leitmotiv : «  être urbaniste, c’est d’abord être capable non pas de formuler des réponses – toutes faites ou pas – mais plutôt des questions ». Si possible les bonnes, mais ceci est une autre histoire. En clair et sans utiliser de jargon, avant d’agir il faut réfléchir, s’interroger et avoir des hypothèses, qu’on fait partager aux autres, élus, acteurs de la société civile, etc….

 

Incontestablement, les urbanistes le font majoritairement, ce travail, prennent le temps de les formuler, ces questions. Et d’ailleurs, quand nous « qualifions » des urbanistes, ceux qui ne se questionnent pas, eh bien, on ne les qualifie pas….

 

Mais s’il y a un domaine sur lequel on ne s’en pose pas, des questions, c’est l’organisation de notre profession. Notre profession a moins d’audience que le « syndicat des cartomanciennes » (existe-t-il d’ailleurs ?). Notre profession est moins attractive pour les jeunes qu’un séminaire catholique depuis que le cardinal Ratzinger est devenu Pape. Notre profession est encore plus godillot que le parti gaulliste sous De Gaulle (président clairvoyant au demeurant). Notre profession est aussi divisée que le mouvement protestant, et Dieu sait qu’il n’y manque pas d’obédiences et de « chapelles » !

 

Nous baignons dans l’autosatisfaction. Notre profession est morcelée, inorganisée, n’a même pas un slogan moteur pour promouvoir l’urbanisme. On se contente d’auto promouvoir les urbanistes. Même les partis  politiques n’osaient pas tomber dans la société du spectacle, mais les urbanistes l’ont fait !

 

Les résultats sont là, totalement décevants ! Que ce soit en PACA ou ailleurs, nous ne sommes pas écoutés par les décideurs, car nous n’avons rien à dire, sauf à pratiquer l’autosatisfaction. Nous ne sommes pas entendus par les jeunes qui voudraient être urbanistes, car notre manière de nous désorganiser les dissuadent très vite - et définitivement - de venir « donner du temps » aux territoires, et en PACA beaucoup plus qu’ailleurs. Nous sommes ignorés car seul un « quarteron d’urbanistes » s’organise dans chaque région, alors que de nombreux urbanistes travaillent comme salariés dans le « service public des territoires », dans l’ingénierie privé, voire comme « militant de la société civile.

 

J’étais membre de la SFU PACA depuis plusieurs années, estimant qu’il valait mieux intégrer une association  professionnelle apparemment ouverte à tous les urbanistes, plutôt que de rester confiné dans le seul monde des agences d’urbanisme. J’y ai tenu des propos très certainement teinté de réformisme actif (je suis comme ça, même si mon prénom, ni le premier, ni le second n’est Nicolas !) et j’ai obtenu de petits résultats, comme le fait d’intéresser la profession à l’avenir des jeunes urbanistes. Les autres thèmes, j’ai dû les remettre dans ma besace. J’ai beaucoup contribué à « fermer les chapelles » d’urbanistes, nombreuses en PACA, et à favoriser le rapprochement des « familles d’urbanistes ». Après coup, je me dis que mon GPS était mal réglé. C’est en Corse que j’ai dû atterrir, car franchement la vendetta est le lot commun de la profession régionale. La SFU démolit les CAUE, les urbanistes des agences s’enferment dans leur tour d’ivoire, etc…

 

J’ai donc démissionné de la SFU PACA, qui de toute façon m’avait déjà mailé ce message hautement constructif « le chien aboie, la caravane passe » (ça doit être extrait d’un album de Tintin). Et demandé mon adhésion individuelle à l’union régionale des urbanistes de PACA, voulant faire le parcours du jeune urbaniste qui ne s’intéresse pas aux chapelles et veut faire du travail collectif. Le Conseil de cette union, que j’avais aidé à construire m’a convoqué, et m’a fait comprendre - avec le respect dû à un urbaniste qualifié quand même - que ma demande était contraire au règlement. Ce n’était point de la faute de l’union si les urbanistes des agences ne voulaient pas adhérer à l’union. Il suffisait que j’adhère à une autre association et fermons le ban. Voilà comment vit le petit monde des urbanistes.

Je me demande comment ce conseil, dont plusieurs membres, dont le président, sont attachants et sympathiques prendra en charge la candidature de jeunes urbanistes….

 

Adhérez ailleurs et revenez nous voir…. Ce n’est plus du corporatisme, c’est de l’autisme et du conservatisme (et pas éclairé, celui là). En tout cas, ce ne sont pas des perspectives !

 

Ce petit détour par le petit monde des urbanistes de PACA «corsifié» n’a pas pour objectif de poser une quelconque candidature à une présidence. Simplement de commencer à expliquer que la petite société des urbanistes en PACA est au plus mal, et que chercher à la maintenir à flot en l’état ne sert plus à grand-chose.

 

Et cette «corsification» qui bloque les urbanistes de PACA a commencé à gagner la société des urbanistes tout court. J’y reviendrai dans un prochain article. Le sursaut ne passera pas par la victoire - totalement hypothétique - d’un clan contre l’autre. Evidemment, l’histoire de certaines villes italiennes s’est construite de cette façon et a nourri les plus belles pages de … Machiavel. Mais Machiavel, s’il était lucide, n’était pas urbaniste. Et c’est tant mieux, car je n’aurais pas voulu qu’il me qualifie !

 


Commentaires

 

1. SFU junior  le 13-12-2008 à 17:56:57

Il faut effectivement dégripper la machine.

2. Roger Bazile  le 13-12-2008 à 18:02:00

A l'heure actuelle, les associations d'urbanistes sont comme les collectivités locales : "l'Etat les aime tellement qu'il les a voulu petites, nombreuses et sans pouvoir", pour paraphraser un Sénateur (qui s'est attaqué au mille-feuille territorial de l'agglomération parisienne). Il faudra donc s'engager dans une logique fédérale.

 
 
 
le 12-12-2008 10:21

« Comment remettre le tracé des Métropoles sur la bonne voie »

Vendredi 19 décembre - Marseille - Chambre de Commerce et d’Industrie de Marseille Provence (CCIMP) - Palais de la Bourse  -  9, la Canebière  (à 17 heures)

 

Raymond VIDIL, Vice-Président CCI Marseille Provence, et Marc REVERCHON, Président du Cluster Paca Logistique

ont le plaisir d’inviter les membres de la CCIMP, du Cluster Paca Logistique, du GIR Maralpin, de l’ORT, de l’UMF et de l’UPR

à l’exposé de

Jacques MOLINARI, Secrétaire scientifique du GIR Maralpin

Sur la Ligne Grande Vitesse PACA

ou « Comment remettre le tracé des Métropoles sur la bonne voie »

En clarifiant la problématique des tracés et des fonctionnalités de la LGV, cette présentation permettra d’alimenter le débat à suivre

 

Le synopsis de cet exposé [cf. MolinariConfCcimpLgvPacaRefond812] n'évoque que les grandes lignes d'une problématique que l'auteur considère devoir conduire à une refondation du projet sur de nouvelles bases prenant en compte, d'une part, l'évolution des conceptions en matière d'infrastructures modernes en France et dans les autres pays européens, mais surtout, les exigences de plus en plus prégnantes en faveur d'un aménagement durable de l'Arc méditerranéen et particulièrement de son secteur provenço-azuréen

 


 
 
le 28-11-2008 11:29

Le Gouvernement hésite à imposer des mesures fortes pour contrer la crise immobilière ( texte de C. JULIENNE, Héritage et Progrès

Le Gouvernement hésite à imposer des mesures fortes

pour contrer la crise immobilière.

 

 

Après 10 ans d’expansion continue – 1997/2007 – les marchés de l’immobilier, neufs et anciens, connaissent depuis le début de l’année 2008 un fort ralentissement et, depuis juin, une crise d’une ampleur exceptionnelle. La dernière enquête du Ministère du Logement indique que les ventes du 3ème trimestre 2008 sont inférieures de 44 % à celles du 3ème trimestre 2007. Les crises immobilières de 1983 et 1990 n’ont jamais provoqué une telle chute des ventes.

Cette crise inquiète les pouvoirs publics pour deux raisons :

1 – L’apport de la construction neuve aux budgets publics (Etat et collectivités locales) représente 42 milliards d’euros stricto sensu, 50 milliards lato sensu, près du double des aides aux logements : 27 milliards.

2 – Les spécialistes de l’économie de la construction tablent, pour les douze prochains mois,  sur une chute de 130 000 logements, soit 260 000 chômeurs supplémentaires.

La Présidence de la République et le Premier Ministre s’inquiètent d’une situation beaucoup plus dégradée que prévu.

 

La chute des ventes enregistrée depuis quelques mois trouve son origine dans :

Ÿ le relèvement des taux d’intérêts à 5 % au troisième trimestre 2008 ;

Ÿ la frilosité des banques devenues beaucoup plus exigeantes sur les niveaux de revenus et d’apports personnels ;

Ÿ le blocage du marché de l’ancien qui empêche les acquéreurs éventuels de liquider leur crédit relais ;

Ÿ une inquiétude généralisée provoquée par la crise financière qui conduit les demandeurs de logements à espérer une forte baisse des prix ;

Ÿ enfin et surtout un décalage trop important entre le prix des logements (plus 146 % en dix ans) et le revenu disponible des ménages qui, malgré la solvabilisation par le crédit, a progressé deux fois moins vite.

 

C’est le marché de l’ancien qui est aujourd’hui le plus touché par la crise. Les ménages ont enregistré cette absence d’écart de prix avec les logements neufs et ne veulent plus acheter dans l’attente d’une forte baisse. Le phénomène constaté par les agents immobiliers est celui d’un attentisme généralisé qui se traduit par l’absence de visites et de transactions. La chute des ventes dans l’ancien semble de l’ordre de 50 %.

 

Dans le marché du neuf, la crise est à peu près équivalente dans le collectif et dans l’individuel diffus : – 20 % sur les douze derniers mois, mais – 44 % au cours du dernier trimestre. L’accession à la propriété très sociale (prêts d’accession sociale – PAS – et PTZ à l’ancien plafond) résiste mieux que les logements de prix moyens et élevés. La clientèle des hauts revenus semble attendre que la baisse des prix se produise. L’inquiétude due à la crise financière joue ici à plein. Les prévisionnistes tablent sur – 30 à – 35 % sur les douze prochains mois.

 

 

 

Dans ce contexte très pessimiste, le projet de loi de Christine Boutin pourrait apporter des éléments importants pour redresser la conjoncture. Il est particulièrement dommage que les propositions de réformes de l’urbanisme figurant dans le projet aient été repoussées ou édulcorées par le Sénat. Pourtant il n’existe que trois moyens de faire baisser les prix de façon importante :

1 – recréer une véritable concurrence et un minimum d’abondance dans le domaine foncier ;

2 – alléger, au moins pendant cinq ans, des réglementations qui ont majoré les coûts de construction d’environ 20 % ;

3 – étendre très largement la TVA à taux réduit de 5,5 %.

 

Plusieurs mesures préconisées par le projet de Mme Boutin pourraient y contribuer :

Ÿ un véritable retour de l’aménagement privé grâce au projet urbain partenarial (PUP). Ce projet pourrait être rédigé avec plus de forces. Son application devrait être fortement encouragée par les DDE et les DDA ;

Ÿ une augmentation immédiate de tous les coefficients de constructibilité à hauteur de 20 % ;

Ÿ la possibilité de construire en mitoyenneté ou en contiguïté sur des terrains d’une taille suffisante. 4 millions de terrains ont plus de 1 500 m² et sont hors lotissement. Ils pourraient devenir constructibles soit par la procédure d’extension, soit par le retour à la division successorale en quatre lots. Un ménage pourrait ainsi offrir à l’un de ses enfants ou à ses parents âgés, la possibilité de construire à côté de chez eux en respectant la lutte contre le mitage et contre l’étalement urbain ;

— une facilitation des opérations de remembrement pour des terrains rendus constructibles grâce à la modernisation du régime des associations foncières urbaines libres (AFU). Il faut simplifier la procédure de l’AFU dans le cadre du permis d’aménager ;

Ÿ la généralisation du PASS foncier en globalisant la formule au niveau des immeubles collectifs. Le maître d’ouvrage de l’immeuble pourrait faire assurer le portage financier du terrain par un organisme collecteur du 1 % logement, pendant 20 ans, avant d’en demander le paiement aux acquéreurs ;

Ÿ l’encouragement accordé aux communes pour construire alors qu’aujourd’hui on exige d’elles une subvention de 3 à 5 000 € pour réaliser un PASS foncier individuel ;

Ÿ l’intégration dans les 20 % de logements sociaux de la primo accession sociale. Cette mesure encouragerait les communes qui ne veulent pas d’HLM locatives à construire.

 

En outre, les réglementations successives adoptées depuis sept ans (normes industrielles, accessibilités exigées dans la totalité des logements, normes HQE et THQE…), pourraient faire l’objet d’un réexamen gouvernemental avec un moratoire lié à la crise actuelle.

 

Enfin et surtout, la généralisation d’une TVA à 5,5 % pour toute l’accession sociale et toutes les constructions bénéficiant du PTZ serait évidemment un formidable moyen de relancer le marché. Le manque à gagner pour les finances publiques serait largement compensé par les quelques vingt taxes perçues sur la construction neuve et sur le bâtiment qui, ensemble, rapportent beaucoup plus à l’Etat que la TVA.

 

Le Parlement a certes de nouveaux pouvoirs, mais le Gouvernement en conserve beaucoup. La crise est désormais trop grave pour que l’un et l’autre ne s’en servent pas.

Christian JULIENNE

 

 


Commentaires

 

1. DdeL  le 13-12-2008 à 14:35:53

Enfin des prises de positions rafraîchissantes.
On ne parle pas; mais on agit.
Putaing: continuez[:s[:yingyang:]Sourire1miley_id118473:]

 
 
 
 

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